Un matin d’été en 1994, je lis dans la Parisien que les studios de Boulogne ont brûlé.
L'après midi, j'arrive là-bas. Je me rends compte que ce n'est pas le feu qui a détruit ce lieu mythique mais les bulldozers. L’incendie est criminel mais de toute façon, ce lieu devait disparaître pour faire des bureaux.
Une fois à l’intérieur, je découvre les ruines. Etrangement, le bureau de directeur, Gérard Caldéron, est presque intact. Il a déménagé mais je retrouve tous les agendas des années 70. J’en prend un.
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