lundi 19 avril 2010

C'était après une nuit de travail à San Rémo. Nos yeux s'étaient habitués à l'obscurité. Petit à petit, des chants d'oiseaux arrivaient à nos oreilles tandis que la pénombre s'éclaircissait  doucement. A ce moment là, je pensais à un ami qui, comme Dracula,  à l'angoisse du jour qui se lève. 
Un lit! Vite un lit pour que j'aille me coucher!


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